NON ! NON ! et NON ! je rage, je grogne, je piaffe.

Et pourquoi ? parce que je n'ai pas les photos sur l'ordi de Galapagos, mais sur celui de Perros !

Je voulais vous parler du "billard japonais".

(image du net)

Mon grand-père marin étant mort jeune (pas en mer, mais de maladie sûrement contractée sur la goélette), ma grand-mère a dû essayer de joindre les deux bouts pour élever ses trois enfants.

Elle a donc ouvert un "billard japonais" où il y avait je ne sais combien de jeux de ce style. Vous pigez le truc en voyant la photo. Il fallait faire rouler des boules en buis en essayant de les faire rentrer et rester dans les trous. En fonction du total des points obtenus on gagnait des "lots", mais en fait de jolis lots qui venaient vraiment du Japon.

Voici quelques pièces restées dans la famille : le fameux bouddha qui appartient à ma soeur

 (photo Délires) 

mon "vase mimosa".

(photo Délires) 

Il y avait aussi de plus petits lots, brûle parfums (j'ai un joli lion, des petits vases), des théières et autres bibelots.

(photo Délires)  

Je voulais aussi vous parler d'un certain Noël où un de mes fils avait "commandé" un awalé.

Après avoir vu "x" vendeurs et vendeuses ouvrir de grands yeux en avouant qu'ils ne savaient pas ce que c'était, j'ai failli baisser les bras. Mais, au moment de Noël, il y a des petits stands dans les galeries marchandes. Enfin ! quelqu'un savait ce qu'était un "awalé" !

(toi CALI LE P'TIT KANGOUROU tu connais ce jeu, je crois que ton amie en vend)

(image du net)

*mais si j'arrive à avoir une "photo à moi", je changerai celle-ci*

Il y a aussi les billes, les calots... Ah les parties de "Tour de France" sur la plage (quand les garçons acceptaient les filles dans les équipes...)

Et le soir où au 1er étage des Zéphyrs, il y avait la java (enfin, je me comprends...), j'avais vidé un gros sac de billes d'assez haut pour faire comprendre qu'au-dessus, il y avait quelqu'un...

C'était un simple plancher entre les étages et les locataires étaient des "affreux", des "affreuses mal élevées". D'accord, il y a prescription maintenant !

pour SHERRY

(clin d'oeil à LAJEMY)

"Dors mon p'tit coin-coin, mon p'tit coin-coin..." (Pardon la Picardie !)

Bien sûr, il s'agit de petits canards ! Tu as oublié le deuxième "coin" Lajemy ! (Bonjour Sherry !)

Alors je vous raconte : quand j'étais petite, il y a très, très, très longtemps, il y avait quelques animaux de basse-cour à la maison et bien sûr des canards.

Je me souviens d'une couvée... Mes parents mélangeaient de l'ortie hachée avec du jaune d'oeuf dur pour essayer de nourrir les petits qui n'avaient pas envie de rester sur cette basse terre !

Bref, il n'en est resté qu'un, complètement mal foutu, mais tellement attachant. Je l'ai appelé affectueusement "cani-canard". 

Eh bien mes enfants, je ne me souviens plus combien de temps il a vécu une heureuse vie chez nous. J'étais "la petite" à l'époque, mes aînés avaient décidé que ce serait "mon" canard. Nous avons appris à nous connaître, à nous apprécier ; nous avons vécu de belles aventures ensemble dans le jardin. Je te cherche un ver de terre, tu bécotes ma chaussure...

 Mais voilà, dernier canard... plus de place pour le loger au rez-de-chaussée. La solution : le soir il fallait le rentrer au premier étage d'un clapier et le sortir le matin. Et qui le rentrait ? Ma pomme !  Parfois le soir on entendait "tap-tap" au bas de la porte de la cuisine, et aussitôt les frères et soeur : "Franchouette ! tu as oublié de rentrer Cani".

Quelle responsabilité ! 

Il est parti, très vieux, au paradis des canards. Mes frères me faisaient rager en me disant "si tu sautes ici, dans le jardin, tu vas entendre "coin-coin" !

Mon "casse tête" chez LAJEMY 

qui passe la main, la tête, le à SHERRY

(pas dans le thème ? j'ai encore mal lu ? Vraiment, je suis incorrigible...)

Un coup d'oeil sur mon planning surchargé... j'ai bien pris rendez-vous pour vendredi prochain.  J'en ai besoin, non ?

C'était avec une classe super sympa ! J'avais relevé le défi...

 chez LAJEMY

Hou ! la vilaine... Mais Madame Lajemy, je n'ai pas de palle sous la malle (je veux dire de malle sous la patte).

Dans la "cabane à Zozo" des Zéphyrs, il y a ma vieille cantine verte achetée au BHV au temps des dinosaures, pour ramener en Bretagne tout le fourbi, livres récupérés chez les éditeurs, cours... après ma folle année parisienne (enfin, banlieusarde) de "formation".

J'ai quand même trouvé quelque chose : 

(photo disparue...)

Je veux bien qu'on le remplisse de pièces d'or, de diamants, de pierres merveilleuses.

Ce qui est certain, c'est que je ne peux y ranger mon boulot de dimanche...

Un été plus humide ? une récolte plus tardive ? Il y aura moins de "pots" dans la réserve... (vous connaissez la maison, vous pourrez vous servir "avec modération").

OUI ! je suis sortie du sujet, mais y étais-je entrée ?

Pour le "casse tête" chez  LAJEMY

Cette semaine, pour le "casse tête" chez  LAJEMY, je vous propose de revoir la photo d'une petite partie de ma modeste cuisine !

Quel boulot pour satisfaire les goûts alimentaires de mon seigneur et maître, de sa mère, de son harem, de ses invités... (sa mère est terrible !)

A chaque repas, il faut prévoir un minimum de 4 000 convives (et je vous laisse imaginer les jours de fêtes...). Je dois gérer 800 personnes (souvent plus !).

Je ne mets pas la main à la pâte : je dirige, donne des ordres, des contre-ordres, des réprimandes, (des coups de fouet ? NON)... je supervise, j'ajoute une ou deux gouttes de poison à certains mets...

Quelques renseignements supplémentaires ? c'est ICI pour les curieux !