• (PHOTO DU NET)

    Dans mon jeune temps, on appelait ce jeu "barre avion" pour distinguer du jeu de "barre" que j'ai essayé de matérialiser ci-dessous.

    Si "barre avion" n'usait que les participantes, jouer à la "barre" usait les participantes et... leurs galoches, sabots ou claques ! (vous savez ce qu'était une paire de "claques" ?) 

    Il fallait lancer un caillou (un galet ramené de la plage bien sûr, chez nous) d'abord sur le 1, puis sautiller sur une patte de numéro en numéro en poussant le-dit caillou. Ensuite, on lançait le caillou sur le 2, et ainsi de suite... Il me semble qu'il y avait possibilité de poser les 2 pieds sur le 5.

    Je ne vous raconte pas (mais si, raconte !) l'état de la partie intérieure de la "galoche", du sabot ou de la "claque"...

    "Tu as encore joué à la barre..." se lamentaient les parents...

    De temps en temps "Papa McGyver" taillait des lanières dans de vieux pneus et refaisait les semelles et... le côté abîmé ! "Tu as de la chance, me disaient mes copines, nous nous devons aller chez le cordonnier..."

    Une paire de claques...

    Les sabots et les claques se portaient avec des chaussons, et bien sûr, il fallait les laisser à la porte de la maison ou de la classe pour entrer en chaussons !

     

    Un "casse-tête" en r'tard... mais mieux vaut r'tard que jamais...

    57e participation au  LE CASSE TETE DE LA SEMAINE chez LAJEMY


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  • Le Phare du bout du monde... J'aurais aimé aller en Terre de Feu pour le voir "en vrai", mais bon, c'est râpé ! peut-être dans une autre vie ?
    Sa réplique se trouve à La Rochelle, et si je n'ai pu y accéder à la nage, j'ai eu le plaisir de le voir.

    "Le Phare du Bout du Monde". Sur l'île "de los Estados", en Terre de Feu. Restauré puis "répliqué" à La Rochelle.

    "Navigateur aventurier, André Bronner, dit Yul, rêvait d'une île oubliée tout en bas de la carte.

    Il s'y fit déposer, naufragé volontaire pendant trois mois à quelques encablures du cap Horn. Et sur cette île des Etats désertée, il trouva ce qu'il était venu chercher : les vestiges du phare argentin construit en 1884 qui inspira à Jules Verne son dernier roman : Le Phare du bout du monde.

    De retour à La Rochelle, Yul formula un autre rêve : "Ce phare, nous allons le reconstruire ! J'emmènerai avec moi des charpentiers, des zingueurs et des amis artistes pour témoigner de cette expédition exceptionnelle, du romantisme du lieu, de la poésie de l'aventure".

    Fou, le projet fait pourtant des émules et trouve des protecteurs, tant et si bien qu'en janvier 1998 débarquent sur l'île des États dix hommes et 17 tonnes de matériel.

    Au terme de deux mois de chantier dans les vents patagons et d'une nuit de près d'un siècle, les deux éclats du Phare du Bout du Monde sont de nouveau visibles par 54° 45 S et 64° 50 W !

    Mais l'histoire ne s'arrête pas là : le 1er janvier 2000 a été allumée à La Rochelle une réplique du phare de l'île des États, pour qu'une même lumière éclaire les deux hémisphères de la planète sur la route du nouveau millénaire.

    Récits, poèmes, chansons, illustrations, peintures, documents et photos restituent les tonalités de cette épopée formidable. Ils relatent l'histoire du phare original entretenu pendant dix-huit ans par des bagnards dans des conditions extrêmes. Ils évoquent la genèse du roman de Jules Verne.

    Ils disent la Terre de Feu, Ushuaia et le cap Horn, la démesure des éléments, les Indiens qui y vivaient pourtant et les marins qui fréquentaient ces parages."

    Je me dois de signaler que j'ai trouvé le texte ci-dessus sur internet. Il s'agit, je pense, de la présentation de ce livre :

     

    Le phare du bout du monde 
    A. Bronner G. Flahaut G. Maurel

    Le phare "du bout du monde" à marée haute. Photo prise de la "Pointe des Minimes" à La Rochelle.

    La "plaque" explicative... pas très loin de l'endroit où nous avions discuté avec "Madame Le Chien", mais ceci est une autre histoire...

    Ces deux photos ont été prises lors d'une virée à La Rochelle, en septembre 2005.


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  • Dans la vitrine, un peu à l'écart de la volière de chouettes et de hiboux... quelques petits objets en ma possession depuis plus d'un demi siècle, sauf le poisson "perché" que j'ai ramené en 2000.

    Il y a longtemps (quelques décennies), soeur "aînée" a fait plusieurs séjours en Italie près du Lac de Garde. Quelques excursions, dont une à Venise et cette année-là elle a ramené des petits sujets de Murano pour ses frères et soeur.

    Ceux-ci me suivent partout, de Perros à Saint-Brieuc, Rennes, Pontivy, St Maur des Fossés et maintenant, à Galapagos.

    J'y ai repensé en lisant l'article de MARTINE

    dans son CARNET A MALICES

    Mon "moustachu" dans les tons bleus, mais du même style que le sien !

    Il y a un coq qui a dû perdre un ergot dans un déménagement et Alfred qui revient de goguette. Il a l'air complètement "paf" ! 

    Voici mon "chat bleu" en bois, un cadeau d'anniversaire.

    Mes derniers arrivants viennent du... Guatemala !

    Un peu de tout là-dedans, mais aussi des bestioles dans des petites vitrines, des bestioles hors vitrines, des bestioles en Bretagne...

    Et voilà comment je passe du coq à l'âne !

    (photos Délires)


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  • VOUS LES CONNAISSEZ ?

     

    Souvenirs d'enfance  

    Carmen et La Hurlette

    Toujours sur leur banc


    Au menu du réveillon

    Queues, pattes, têtes de crevettes

    Délires

     


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  • Et en ce temps-là, il n'y avait pas de "changement d'heure" !

     

    (texte de la chanson trouvé sur le site ci-dessous)

    ET PENDANT CE TEMPS-LA...


     

     

     

    Un monsieur attendait
     

    Parlé: 
    Voici l'histoire émouvante d'un tout petit monsieur
    qui aimait tendrement une jeune fille de son village

     Refrain

    Un monsieur attendait au Café du Palais
    Devant un Dubonnet la femme qu'il aimait
    La pendule tournait et les mouches volaient
    Et toujours le monsieur attendait.

    - 1 -
    Elle lui avait dit: Je viendrai vers midi
    Il était déjà six heures et demie
    Il pensait... c'est bizarre
    Comme les femmes sont en retard
    Mais toujours patient et plein d'égards.

    - 2 -
    Lorsque sonna minuit il repartit chez lui
    En s'disant: c'est pas pour aujourd'hui
    Mais ça m'étonnerait bien
    Qu'elle ne vienne pas demain
    Et l' lend'main dès huit heures du matin...

    - 3 -
    Puis les mois se passèrent; vint la crise et la guerre
    Le Café changea d'propriétaire
    On refit les plafonds
    Les chaises, les guéridons
    Mais même pendant les transformations...

    - 4 -
    Un soir l'âme bien lasse il la vit dans une glace
    Elle était juste au Café d'en face
    Elle s'était tout bonnement
    Trompée d'établissement
    Et v'la pourquoi pendant quarante ans...

    Dernier refrain


    Un monsieur attendait au Café du Palais
    Devant un Dubonnet la femme qu'il aimait
    Mais le jour qu'il la vit elle avait un mari: 
    Le patron de l'autre bar... c'est la vie !


    Interprète: Georges Ulmer



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